
BD, peinture, cinéma, mise en scène… L’œuvre du dessinateur Enki Bilal, se déploie cet été à Landerneau (Finistère) en Bretagne au Fonds Hélène et Édouard Leclerc pour une importante rétrospective thématique. Retour sur un parcours artistique débuté dans les années 1970.
Bilal publie pour le journal Pilote , ainsi que pour les éditions Dargaud et Autrement. Il travaille pour Resnais, Mon oncle d’Amérique. En 1985, il fait des recherches graphiques pour Le Nom de la rose, le film de Jean-Jacques Annaud.
En janvier 1987, il obtient le Grand Prix du 14e Festival international de la bande dessinée d’Angoulême . En mai 2006, il crée l’illustration du timbre de FranceEuropa sur le thème de l’intégration. En 2019, il est membre du jury au Festival de Cannes.
Enki Bilal explore le temps à travers des mondes « passé, présent, futur [qui] sont toujours intimement liés »
NDLR : Bilal est une figure emblématique de la BD dans l’univers de la science-fiction au même titre que Philippe Druillet appelé « le marginal » par ses camarades (cf. – 1974 – le mensuel Métal hurlant et la maison d’édition Les Humanoïdes Associés). On aime ou on n’aime pas son style, mais il ne laisse pas indifférent, tant son graphisme est puissant et chargé de sens.
Biblio :
- Source presse ;
- Wikipédia ;
- Enki Bilal – Le site ;
- Enki Bilal – Casterman ;
- Bilal, Enki – Bibliographie, BD, photo, biographie ;
- Enki Bilal : une technique en mouvement – YouTube ;
- Comment dessiner une révolutionnaire russe ?

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