La Saint-Patrick est une fête célébrée par l’Église catholique, l’Église orthodoxe, l’Église luthérienne, et l’Église d’Irlande (anglicane). Elle est déjà célébrée par les Irlandais aux IXe siècle et Xe siècle. Par la force de cette tradition, saint Patrick est associé à l’Irlande dans le système de patronage religieux.
La 63e édition du Salon des Beaux Arts de Garches aura lieu du 17 mars au 2 avril 2023 – 9h/18h
103 artistes plasticiens exposent et partagent avec nous une partie d’eux-mêmes et leur vision du monde.
Invité d’honneur : Jean-Jacques Pigeon. Artiste plasticien, ses médiums sont le dessin, la peinture, la sculpture, l’installation et la lumière sur des supports comme le papier, la toile, le bois ou le mur. Il pratique un art très contemporain à travers une abstraction qui s’inspire de la nature. Il utilise, des feuilles, branches ou brindilles pour peindre ou construire des oeuvres en volume assez minimales, parfois proches de l’architecture.
L’Histoire de l’art a été marquée par de nombreuses artistes mais ces dernières sont souvent méconnues du grand public. C’est sur cette constatation que Léa Hoche & Léa Bichard ont fondé le Collectif Artemisiae.
Leur but ? Donner la possibilité à des femmes artistes d’être mises en avant pour écrire une nouvelle page de l’Histoire de l’art, riche des apprentissages du passé.
Auprès de Artistikrezo.com, Léa H et Léa B ont accepté de répondre sur le collectif, sur leurs parcours, leur première exposition et sur leurs futurs projets.
Pouvez-vous m’expliquer comment fonctionne le Collectif Artemisiae ?
Léa H : Pour le choix des artistes c’est simple : on fonctionne au coup de cœur. Ce qui est pratique, c’est qu’on a exactement les mêmes goûts : je sais ce que Lea (B) va aimer ou ne pas aimer, et inversement ! Après, on contacte les artistes et on leur explique le projet. Une fois les artistes sélectionnées, on fonctionne avec une Charte. C’est une sécurité pour être sûres qu’on partage toutes le même but et les mêmes valeurs : créer une vraie famille artistique et culturelle dans un esprit de sororité ; avec nous, mais aussi entre les artistes.
Léa B : Pour le financement, on prend soin de mettre tous les mois de l’argent sur le compte en banque de l’association. On avait réfléchi au fait de vendre des œuvres des artistes du collectif et de prendre une commission mais on a vite abandonné le projet : on trouvait que c’était trop tôt, puis on tient à ce que les artistes puissent vivre au maximum de leur art sans se faire taxer. La seule commission qu’on s’est autorisée à prendre, c’était sur les ventes pendant l’exposition. On l’a fixée à 10%, juste pour rentrer dans nos frais. Du coup pour monter l’exposition on a mis place une campagne de crowdfunding, qui a plutôt bien marché.
Née en Grande-Bretagne en 1971 près de Manchester, dans le nord de l’Angleterre, Emma Burr vit en France depuis 20 ans, d’abord à Paris et actuellement à Vannes dans le Golfe du Morbihan.
Elle a suivi des études d’arts plastiques en Angleterre, et de graphisme en France. Attirée par le paysage urbain et portuaire, elle se dirige vers le dessin dans un esprit proche des planches de BD et fait ses premières réalisations à Nantes, Saint-Nazaire et Lorient.
Ses travaux lui permettent d’obtenir une résidence avec le service d’Animation de l’architecture et du patrimoine de la Ville de Lorient en automne 2014. Sa démarche était de solliciter les habitants pour lui faire découvrir la ville, tout autant les lieux connus de tous que les endroits insolites. Elle a renouvelé cette expérience avec la ville de Vannes, de Quimper….
Mi-février, le Grand Palais Éphémère à Paris a accueilli Art Capital, et notamment le Salon des artistes français, rendez-vous incontournable depuis plus de trois siècles. Près de 2 000 artistes de toutes disciplines ont participé à cet événement international.
Pour rappel, Art Capital est né en 2006 suite à la fusion des Salons historiques du Grand Palais. Composé du Salon des artistes français, du Salon des artistes indépendants, de Comparaisons et du Salon du dessin et de la peinture à l’eau, il est le rendez-vous incontournable d’artistes émergents et confirmés.
Le Salon des artistes français [wiki], créé en 1667 sous Louis XIV, est le plus ancien des salons et a traversé l’histoire de l’art français avec des chefs-d’œuvre tels que La Liberté guidant le peuple (1831) de Delacroix ou Le Serment des Horaces (1785) de David. Le Salon des indépendants est l’héritier du Salon des refusés, fondé en 1884.
Pour sa 233e édition, le Salon se perpétue en rassemblant 610 artistes, dont 305 nouveaux, exposant dans 5 sections différentes : la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture et la photographie.
On citera les artistes suivants : Grzegorz Stec, Javiol Eric, Vincent Bizot, Dimitri Buiron, Enki Bilal, Plotnikova Marina… les graveurs tels que E. Desmazières, F. Houtin, G. Trignac, E. Nodeho, Y. Douaré, D. Sosolic… la collection d’Hervé et Jean Sérane (G. Di-Maccio, Klaus Dietrich, Alain Margotton, Jean-Paul Landais, Yves Thomas)… le salon des Indépendants (Bigotti Sandra, Bennani Nouzha, Cayot Bruno, Cuccovillo, Deryabina Margarita, Delvallée Patrick, Emery Raphaëlle, Foucault Olga, Eva Marc’h, Judy C.Zheng, Jozan Marylise, Labunets Olena, Lavenu Françoise, Personne Odile, Pouget Amine, Martinet Marie-Madeleine, Mabrier Patrick, YenN Mei-Yuan, Wang Yihan,...)
Enki Bilal – capture doc pdf de l’expo ‘Salon peintures et dessins à l’eau’, 2023