Archives du mot-clé surréalisme

Fenêtre sur campagne, de Pierre Bonnard

Pierre Bonnard, né le 3 octobre 1867 à Fontenay-aux-Roses (Seine) et mort le 23 janvier 1947 au Cannet (Alpes-Maritimes), est un peintre, décorateur, illustrateur, lithographe, graveur et sculpteur français.

Issu de la petite bourgeoisie, esprit à la fois modeste et indépendant, il se met très tôt à dessiner et à peindre. Il participe à la fondation du groupe postimpressionniste des nabis, qui entendent exalter les couleurs dans des formes simplifiées. Vénérant toutefois les impressionnistes, Bonnard va tracer son chemin personnel à l’écart des avant-gardes qui suivront : fauvisme, cubisme, surréalisme.

Biblio : Wikipédia, Musée Bonnard (biographie)

Alan Parry, Ruralist Painter

Alan communicates a joyous celebration of nature with a kind of mathematical rigour. Alan has admitted the pull of surrealism before.

Alan Parry’s wonderfully tranquil paintings shimmer with the warmth of late summer English evenings. Many of them were painted in the heart of England near his home in Worcestershire, where the fruit trees burst into blossom and there’s Elgar on the soundtrack.

In the greatest English gardens, there’s immense structure and formal planning underpinning the glory of nature. Alan’s works are the same: they’re simply beautiful, but you get the impression that every inch of the canvas has been carefully considered before a single brushstroke is applied. 

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Le palais idéal du FACTEUR CHEVAL

Joseph Ferdinand Cheval, plus connu sous le nom du facteur Cheval, né le 19 avril 1836 à Charmes-sur-l’Herbasse et mort le 19 août 1924 à Hauterives, est un facteur français célèbre pour avoir passé 33 ans de sa vie à édifier un monument qu’il nomme le « Palais idéal ». Wikipédia

Ferdinand Cheval passe les vingt premières années à construire la façade est de ce qu’il nommera globalement le Temple de la Nature (le terme de Palais Idéal n’a été donné par Cheval qu’après sa rencontre avec le barde alpin Émile Roux Parassac en 1904).

Il a aussi passé huit années supplémentaires à bâtir son propre tombeau. Palais et tombeau sont tous deux considérés comme des chefs-d’œuvre d’architecture naïve.

Ce « Palais », chef-d’œuvre de l’art naïf, se révèle pour la première fois en virtuel. Depuis le 8 avril 2021, n’importe qui peut visiter le Palais Idéal du Facteur Cheval depuis son fauteuil. Grâce à la plateforme en ligne Google Arts and Culture, l’ensemble du monument est rendu accessible aux visiteurs de façon virtuelle.

« A coeur vaillant, rien d’impossible »

Entre les cartes postales qu’il a rédigées et les gravures de l’époque, on pénètre petit à petit dans l’esprit de ce travailleur acharné, qui sacrifie ses nuits à la construction de son Palais, entre deux tournées de livraison de courrier. Le résultat est un palais hétéroclite, au croisement de nombreuses influences venues du monde entier et que chacun peut désormais visiter virtuellement. Cette nouvelle page s’attarde particulièrement sur les inscriptions présentes partout sur le bâtiment. Il s’agit notamment de citations écrites par le Facteur lui-même tout au long de la construction, comme « Ce monument est l’œuvre d’un paysan » ou « Je suis la fidèle compagne du travailleur intelligent, qui chaque jour dans la campagne cherchait son petit contingent », inscrite sur le fronton de la grotte dédiée à sa brouette, qui l’accompagna dans son entreprise monumentale pendant plus de 3 décennies.

La famille du Facteur Cheval alors que celui-ci a 81 ans © Google Arts and Culture

« Fils de paysan je veux vivre et mourir pour prouver que dans ma catégorie il y a aussi des hommes de génie et d’énergie. Vingt-neuf ans je suis resté facteur rural. Le travail fait ma gloire et l’honneur mon seul bonheur ; à présent voici mon étrange histoire. Où le songe est devenu, quarante ans après, une réalité. »

— Ferdinand Cheval, 15 mars 1905

Classé au titre des monuments historiques le 2 septembre 1969 grâce à l’appui de l’ancien ministre André Malraux, ce monument a été construit petit à petit durant 33 ans entre avril 1879 et le courant de l’année 1912.

Le monument, entièrement édifié par cet homme, mesure 12 mètres de hauteur et 26 mètres de long, les différentes pièces (des pierres ramassées sur les chemins pour la plupart) ont été assemblées avec de la chaux, du mortier, du ciment et des armatures métalliques (ce qui est précurseur en matière de technique de « béton armé »).

Les archives de l’INA attestent des dons de Ferdinand Cheval, indiquant : « Architecte, sculpteur ou dessinateur, il inventera pour mener son projet à bien, certaines techniques comme le béton armé par exemple. »

« Plus opiniâtre que moi se mette à l’œuvre » écrira-t-il.

Selon Le Dauphiné libéré, le palais reçoit la visite de quelque 150 000 visiteurs en 2013.

Sources : le site officiel ; Connaissance des Arts – visite virtuelle ; Wikipédia ; Palais idéal du Facteur Cheval : L’histoire d’une œuvre évolutive ; Instagram ; la revue Géo ; Détours en France ;

Ballade sur la Toile…

… parcourir la Toile, au hasard des clics & collect, réserve bien des surprises et des émotions. Les talents essaiment les pages, partagent leurs travaux. On y puise des idées, des suggestions, un savoir-faire… une base de connaissances multi-registres… et c’est tant mieux ! Merci.

De haut en bas : Marcel Duchamp; Angelo Franco; Joan Beltran Bofill (1934-2009); Claude Gaveau (1940-…) ‘Femme nue au chapeau’ Lithographie, 56×72 ; Leon Kroll (1884-1974); René Gruau (1909-2004)

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Pop’Art, à la croisée d’une Amérique débridée

Sources : xxx; Wikipédia ;

Les acteurs clés : Rauschensberg ; Warhol ; R Lichtenstein ; Jasper Johns ; Claes Oldenburg ; David Hockney ; James Rosenquist ; Richard Hamilton et Eduardo Paolozzi ; Marcel Duchamp ; Eduardo Arroyo : Yves Klein ; Yayoi Kusama ; Jacques Monory

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