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Retroloco

Du 6 au 29 octobre 2022, les artistes Tito & Mulk présentent les fresques surréalistes de leur monde « Retroloco » à la Mezzanine de l’Hôtel de ville de Sèvres (92310).

Accès libre aux heures d’ouverture de l’Hôtel de ville, 54 Grande Rue, 92310.

L’oeuvre du duo (ou tandem) d’artistes s’inspire de l’environnement économique, social, politique, sociétal et environnemental actuel. Fruit de leurs constats et de leur sensibilité aux « douleurs contemporaines », les toiles mêlent Super-Héros, monstres, chaos et figures fantasques, représentations de personnalités, couleurs en contraste au noir et blanc, imaginaire et « coup de gueule ». Les détails sont archi-présents ! Les messages textuels sont éminemment explicites ! La BD est leur crayon conducteur !

Leurs oeuvres sont présentées sur Facebook, Instragram, Artsper, … et leur homepage.

La Passerelle des Arts les a rencontrés !

Issus des arts graphiques, Tito & Mulk se sont rencontrés au cours de leur immersion dans le monde de la Publicité. Les centres d’intérêts et une complicité naissante les ont conduit à voguer de leurs propres ailes.

Le travail sur toile fut la base de leurs créations communes. L’enrichissement pictural et/ou textuel est progressif. Une idée fuse, l’autre la reprend et la développe… et inversement. Leur notoriété a pris de l’ampleur quand ils ont appliqué leurs méthodes sur les murs. L’art urbain leur a ouvert la voie et les portes du succès. Les jeunes artistes en raffolent !

Merci Messieurs, ravi de vous avoir rencontrés.

Photos (c) Jggir

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Du street art à l’art du luxe

L’artiste tangéroise, Ghizlane Agzenai, installée à Casablanca, signe une collaboration avec le parfumeur Guerlain. Une reconnaissance pour l’art urbain marocain.

L’ancienne consultante en communication fait partie de cette génération d’artistes qui prouvent que street art peut rimer avec prestige. « Je me considère comme une artiste au sens large. Je ne me cantonne pas à un seul univers et peut très bien exposer dans des galeries, dans la rue ou collaborer avec des marques », confirme celle qui n’était qu’une inconnue du monde de l’art il y a encore six ans.

Passionnée de science-fiction, Ghizlane Agzenai puise autant ses influences dans les films rétrofuturistes qui ont bercé son enfance que dans les pays qu’elle a sillonné. Globe-trotteuse, elle a vécu au Mexique, « un pays tellement haut en couleurs », en France et en Grande-Bretagne pour ses études, mais aussi en Allemagne, à Berlin, en 2016. Une année décisive où l’autodidacte fait la rencontre de la scène arty bouillonnante de la ville, et notamment du mouvement low brow, une branche du surréalisme pop teintée d’humour.

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Miss Tic, hommage à une street artiste, poétesse engagée…

Miss. Tic a tombé «l’art mur» et ne bombardera plus ses «mots cœurs». Elle est partie ce dimanche 22 mai, des suites d’une longue maladie, à l’âge de 66 ans. Depuis le milieu des années 80, cette artiste de rue écumait en rouge et noir les rues de Paris avec ses poèmes au pochoir et ses silhouettes plus Manara que Jeanne Mas.

Rendons lui hommage pour sa poésie urbaine, pour sa guérilla poétique et, au fond, très féministe. « Je venais du théâtre de rue, j’aimais cette idée de l’art dans la rue », expliquait-elle en 2011 à l’AFP. Née d’un père immigré tunisien et d’une mère normande, Radhia Novat, de son vrai nom, commence à imprimer son art en 1985 dans les rues de la Butte-Montmartre – où elle a grandi -, du Marais, de Montorgueil et de la Butte-aux-Cailles, après un séjour aux Etats-Unis.

Copie d’écran fu film TV5-Monde

En 2007, elle signe l’affiche du film « La fille coupée en deux », de Claude Chabrol, tandis que La Poste produit des timbres inspirés de ses pochoirs en 2011. Le milieu de la Mode (Kenzo, Louis Vuitton) s’intéresse à son art.

Certaines de ses oeuvres ont été acquises par le Victoria and Albert Museum, à Londres, et le Fonds d’art contemporain de la Ville de Paris, rappelle son site internet.

Sources : Libération ; Libé-Champagne ; Miss. Tic, figure du street art parisien ;

Articles déjà parus sur notre blog :

=> [Street Art] Chuuuttt !!! ;

=> Street Art : Recherche Femmes Désespérément …

créer une résidence d’artistes éphémère

(Angers) Après Arts au couvent, Doris Koffi, présidente de l’association Art Project Partner, veut transformer une ancienne résidence pour handicapés en lieu culturel.

« J’ai participé à plusieurs manifestations pour défendre la culture, mais je voulais agir concrètement. Les artistes avaient besoin d’un lieu de résidence et d’exposition, mais aussi d’être rémunérés. C’était le seul moyen pour moi en montant ce projet de les soutenir durant cette crise », raconte Doris Koffi.

Après Arts au couvent, Doris Koffi veut transformer un ancienne résidence pour handicapés en lieu culturel-Angers.Villactu.fr

Depuis la mi-mars, une vingtaine de street artistes venus parfois de l’étranger se relaient pour métamorphoser cet ancien établissement de santé. Parmi eux, les parisiens Sitou Matt, Oji et Dem Dillon, le péruvien Isaac Barredaramos et les angevins Doline Legrand Diop, Kelkin et Boris Jouanno.

Source : villactu.fr

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[Street-art] l’exposition à la Galerie Sakura

Quand les street artistes revisitent Paris, ça donne « Dans les rues de Paris« , la belle expo visible à la Galerie Sakura du 16 février au 20 mars 2021. Au programme, 70 artistes qui offrent leur vision de la capitale sur un élément qu’on connait tous : un pavé, des plans de métro et même des menus de restaurant.

Informations pratiques

Dates et Horaires
Du 16 février 2021 au 20 mars 2021

Lieu
Galerie Sakura
21 Rue du Bourg Tibourg
75004 Paris 4

Tarifs
Gratuit

Site officiel
www.galerie-sakura.com


source : sortiraparis ; nos articles sur le street art

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