Archives du mot-clé sensualité

Irina Karkabi, de l’Art nouveau au Symbolisme moderne

Irina Vitalievna Karkabi est une artiste contemporaine, née en 1960, à Kharkov (Ukraine), de parents scientifiques. Son talent artistique a été remarqué par son entourage dès la petite enfance. En 1982, après avoir obtenu son diplôme de l’Académie des arts de Saint-Pétersbourg, elle déménage avec son mari et son fils dans la ville de Haïfa, dans le nord d’Israël (Palestine occupée). Là, au carrefour méditerranéen des idées culturelles et des tendances artistiques, Irina fonde son studio.

Elle peint exclusivement à l’huile sur toile. L’artiste a participé à plusieurs reprises à des expositions internationales, par exemple à l’Art Expo de New York et de Los Angeles. Ses œuvres font partie de collections privées en Israël, aux États-Unis et en Europe.

Les peintures d’Irina explorent les secrets de l’amour et de la beauté féminine. Dynamisme, sensualité, expression, féminité, rêverie, romance, charme – tout cela se reflète dans les peintures de l’artiste. Sur la base des connaissances acquises à l’Académie de Saint-Pétersbourg et de ses propres recherches sur le travail des maîtres de la Grèce Antique, de l’Égypte et des œuvres de style Art nouveau, elle combine habilement la beauté classique avec le symbolisme moderne. Ses images éternelles, le plus souvent féminines, aux résonances de sensualité, explorent les profondeurs de la psyché humaine.

Traduction via Google

Sources ; artliveandbeauty ; Facebook ; Tutti’Art ;

[Peintres] Consuelo Mura ou la liberté d’imaginer …

consuelo.mura@gmail.com – Lives and works in Roma. Expositions à Rome, Varsovie, New-York, Istanbul, Hangzou (Chine).

« La peinture de Consuelo Mura est une peinture contemplative qui regarde la figure humaine comme un sujet silencieux et posant, une métaphore de la dynamique complexe de la réalité et de la chaîne de ses significations possibles. » (Marina Marinelli)

« Le titre de mes œuvres indique un chemin possible et ne veut pas être un chemin obligatoire vers une interprétation, mais laisse à ceux qui observent la liberté d’imaginer selon leur propre suggestion.« 

Sources : RAW ; Celeste ;

Lien court : https://wp.me/p5riis-1Di

{Peintres] Dod Procter, une nouvelle vision de la sensualité féminine

Dod Procter, née Doris Margaret Shaw, RA (1890–1972) était une artiste anglaise et l’épouse de l’artiste Ernest Procter.

Procter et son mari ont fréquenté ensemble les mêmes écoles d’art en Angleterre et à Paris, où ils ont tous deux été influencés par l’impressionnisme et les mouvements postimpressionnistes. Ils ont également travaillé ensemble, partageant parfois des commandes et d’autres fois exposant ensemble leurs œuvres. Son mari décéda en 1935.

Ernest and Dod Procter

Dod est restée une artiste toute sa vie. Après la mort d’Ernest, elle voyagea aux États-Unis, au Canada, en Jamaïque et en Afrique.

Elle fut membre de plusieurs organisations d’artistes, telles que la Newlyn School et la Royal Academy (1942) et devint présidente de la St Ives Society of Artists (STISA) en 1946. Son travail fut exposé à la Royal Academy à plusieurs reprises.

L’un de ses tableaux intitulé Morning [1927] a été acheté pour le public par le Daily Mail en 1927.

Biblio : Wikipédia ;

... quelques unes de ses oeuvres


Autres artistes femmes contemporaines qui ont rencontré Dod à l’Académie Royale : Eileen Mayo (1906-1994) ; Marjorie Frances Bruford (1902-1958); Laura Knight (1877-1970) ;

(de gauche à droite : Mayo ; Bruford; Knight)

Lien court : https://wp.me/p5riis-1C6

[Peintres] Mme S.

Mme S « Kimono Rouge N°3 – Kakemono » (2019) – (c) Galerie de Francony – Encre et crayon sur papier brûlé – 65 x 120 cm ( L’oeuvre est presentée entre deux plaques de plexi, prête à être accrochée au mur ) 

Artiste peintre, dessinatrice et plasticienne, Mme S vit et travaille à Marseille.

Mme S nous livre des oeuvres très personnelles, sensuelles, voluptueuses et ambiguës. Elle nous raconte des histoires d’amour et nous plonge dans un univers sensible et poétique aux cotés de ses belles brunes endormies. Des belles dont l’anatomie délicate à l’encre et au crayon se libère des traits de contours et dont les pommettes rosissent pendant que les paupières se hachurent d’ébats.

Lire et découvrir