Archives du mot-clé photographes

art3f PARIS

Le Salon international d’art contemporain aura lieu du 27 au 29 janvier 2023, dans l’espace PARIS Expo – Porte de Versailles 75015 (France). Peintres, sculpteurs, photographes… vous feront découvrir leurs univers singuliers.

Vendredi : 14h à 22h
Samedi : 10h à 19h
Dimanche : 10h à 19h

Tarif : 10€ (gratuit pour les mineurs accompagnés)

Le vernissage aura lieu le vendredi à 18h

Fin de journée…

© Volker Birke

I’m a semi-professional photographer specializing in fine art land and waterscape photography. I can’t draw, but release the shutter, sometimes (I suppose), and I’m looking for the harmony of the world, sometimes (I suppose)…  [ Volker Birke ]

Cayetano de Arquer Buigas, peintre photographe des ‘Nuques’

Cayetano de Arquer Buigas est né le 11 janvier 1932 à Cerdanyola del Vallès (Barcelona), mais a vécu toute son enfance et une partie de son adolescence à Madrid, pour ensuite s´ installer à Cerdanyola del Vallès, où il vit et travaille actuellement.

Sa formation est autodidacte. Héritier de la fibre artistique maternelle, il se consacre tout d´abord à la photographie où il y démontre une grande sensibilité.

Cayetano dans son atelier

Le thème des enfants est fréquent dans son parcours, comme l´est également celui de la maternité, des chevaux, des fenêtres en contre-jour, scènes de chasse, des nus, etc.

Lire sa bio sur Centerblog

L’illustration au service du Roman policier

Le roman policier français : illustration et stratégie commerciale.

Cette image a un attribut alt vide ; le nom du fichier est gutenberg_bible_b42_genesis.jpg

Illustration et roman policier, illustration et affiche pour le 7ème Art… sont intimement liés : la créativité des dessinateurs au service de l’attractivité, de l’émoi, du suggestif, de l’expressif, du symbolique, de l’éloquent, du provocant… De grands artistes se sont adonnés à cet art, tout comme photographes, peintres, sérigraphistes ! D’ailleurs, le roman « classique » et la « littérature de masse » ont très vite laissé quelques pages aux illustrateurs : la Bible de Gutenberg, Les Mystères de Paris d’Eugène Sue, les romans de Jules Verne, Sherlock Holmes avec Conan Doyle, Rouletabille de Gaston Leroux…

Le début du XXe siècle est favorable à l’éclosion du roman policier français. Alors que des craintes anciennes développées dans la dernière moitié du siècle précédent s’atténuent, un regain d’insécurité renaît ; la peur s’empare de la France, peur que la presse s’empresse de dramatiser au profit d’une stratégie commerciale lucrative. Les faits divers sont monnaie courante et quotidienne, crimes, cambriolages, meurtres en série, alimentent l’angoisse collective. Dans le même temps, un engouement pour les récits de crimes se développe, selon les attentes d’un lectorat qui appartiendra bientôt à toutes les couches sociales. Dans ce contexte, le roman policier, fait son apparition, dans le sillage des journaux qui se sont spécialisés dans le crime. L’illustration est un élément essentiel d’une stratégie éditoriale encore balbutiante mais qui a tôt fait de s’adapter au contexte.

Memoire Online présente un article intéressant sur l’émergence de cet art pour le roman policier adossé au travail conjoint de l’auteur et de l’éditeur. Les lecteurs doivent s’imprégner de l’ambiance !

Comme souvent, un succès est la conjonction de plusieurs facteurs. L’illustrateur de San Antonio participe à l’engouement pour les aventures de la série. Michel Gourdon est ainsi inséparable des aventures du commissaire. Choisi dès le début pour illustrer les couvertures, il sera l’illustrateur attitré de l’oeuvre, jusqu’au début des années soixante dix, date à laquelle les choix seront radicalement différents.

lire également : intro au roman policier

[Peintres] Mémoires sans mémoire

Jacques Henri Lartigue, 1929

En 1963, Jacques Henri Lartigue expose pour la première fois à l’âge de 69 ans, au MoMA à New York, quelques-uns des nombreux clichés qu’il a réalisés au cours de sa vie. La même année, le magazine Life lui consacre un portfolio, et ce numéro qui annonce la mort du président John Fitzgerald Kennedy fait le tour du monde. À son plus total étonnement, Lartigue devient du jour au lendemain l’un des grands noms de la photographie du XXe siècle.

La fondation Jacques Henri Lartigue soutient également les jeunes photographes et peintres en versant une bourse. Une station de la ligne 2 du tramway d’Île-de-France porte son nom, ainsi qu’une rue dans le Vème arrondissement de Paris. Il meurt à Nice le 12 septembre 1986. Il laisse plus de 100 000 clichés, 7 000 pages de journal et 1 500 peintures.

Lien court : https://wp.me/p5riis-1GN