Rosalba Giovanna Carriera (1675-1757) est une peintre vénitienne du mouvement rococo qui lança la mode du pastel en France lors de son passage à Paris en 1720. A l’origine modeste dentellière, puis peintre de miniatures sur ivoire, Rosalba Carriera lance à Venise l’art du portrait «au naturel».
Elle a été l’une des premières miniaturistes européennes. Sa technique consistait à peindre directement aux pastels, sans dessin préalable, ce qui évitait de longues séances de pause et apportait une impression de naturel. Elle développa aussi une technique de peinture sur ivoire qui connut également un grand succès à Venise auprès des touristes britanniques.
Ses œuvres suscitaient admiration et curiosité dans les plus hautes régions de la cour et de la société. Dès son arrivée à Paris en avril 1720, nobles et aristocrates, notables, peintres, …. se pressaient devant l’hôtel Crozat, rue de Richelieu (91-95, dénommé hôtel de Choiseul) (1). On peut citer le jeune roi Louis XV, le Régent Philippe d’Orléans, Mmes de Parabère et de Prie ; le ministre Law, sa femme et sa fille, les princesses de Conti, la duchesse de Clermont, le portraitiste Hyacinthe Rigaud, le pastelliste Vivien, Charles de La Fosse, Largillière, Watteau, Lemoine, le sculpteur Falconet, le graveur Gérard Edelinck etc…
Elle retourna en Italie en 1723. Des problèmes de cécité la conduiront à surseoir à ses activités , dès 1747.
Guido Borelli né en 1952 à Caluso (Province de Turin) est un peintre italien figuratif de natures mortes, de paysages, de scènes de genre.
Aujourd’hui, plusieurs expositions permanentes montrent ses oeuvres dans les galeries d’art du monde entier, principalement en Italie, France, Royaume-Uni et États-Unis.
consuelo.mura@gmail.com – Lives and works in Roma. Expositions à Rome, Varsovie, New-York, Istanbul, Hangzou (Chine).
« La peinture de Consuelo Mura est une peinture contemplative qui regarde la figure humaine comme un sujet silencieux et posant, une métaphore de la dynamique complexe de la réalité et de la chaîne de ses significations possibles. » (Marina Marinelli)
« Le titre de mes œuvres indique un chemin possible et ne veut pas être un chemin obligatoire vers une interprétation, mais laisse à ceux qui observent la liberté d’imaginer selon leur propre suggestion.«