Jean-Pierre Cassigneul est né en juillet 1935 et organisa sa première exposition à Paris (1952, Galerie Lucy Krogh). Il entre à l’Académie Charpentier en 1954 et suit les cours de Jean Souverbier à l’Ecole des beaux-arts de Paris.
En 1959, à 24ans, il est nommé sociétaire du Salon d’automne.
Il expose à Paris (galerie Tivey-Faucon, galerie Bellechasse, galerie Vision Nouvelle, galerie Wally Findlay, galerie Pierre Hautot, galerie Matigon, galerie Tamenaga…), au Japon (Tokyo, Osaka, Nagoya, Saitama), aux Etats-Unis (Palm Beach, New-York, Washington, Nouvelle-Orléans), à Hong Kong, en Suisse… Ses dernières expositions datent de 2022.
Sources : bio ; huiles, dessins, lithographies, tapisseries, affiches…
Grandville, ou Jean-Jacques Grandville, pseudonyme de Jean Ignace Isidore Gérard, né le 13 septembre 1803 à Nancy et mort le 17 mars 1847 à Vanves, est un caricaturiste, illustrateur et lithographe français.
Grandville, Deux débardeurs, 1847-papier, plume, encre- @Musée de Nancy
Très tôt, le spectacle de la rue le fascine et, progressivement, s’émancipant des principes inculqués, il se fait une spécialité de « défigurer avec malice ces physionomies que l’adulte met tout son art à figurer. » Son père, musicien amateur mais surtout peintre miniaturiste « pour la tête, la fleur ou le paysage » lui donnera ses premiers cours de dessin.
Après son arrivée à Paris , Grandville publie un recueil de lithographies intitulé Les Tribulations de la petite propriété. Caricaturiste talentueux, c’est avec Les Métamorphoses du jour (1828-29), une série de 70 scènes dans lesquelles des personnages humains sont représentés avec une tête d’animal en situation pour un rôle dans la comédie humaine, qu’il s’est vraiment fait connaître.
Il invente tout un ensemble de procédés « pour donner parole aux images, afin qu’elles manifestent l’idée, affichent l’opinion et agissent immédiatement sur le lecteur. »
Grandville – Fables de la Fontaine
Le succès rencontré par ces œuvres a conduit divers périodiques tels que La Silhouette, L’Artiste, La Caricature, Le Charivari à l’engager comme collaborateur. Ses caricatures politiques et satiriques, suscitent bientôt l’engouement… ainsi que les foudres de la Monarchie de Juillet (Adolphe Thiers). Après ce rétablissement de la censure, Grandville, viscéralement attaché à la liberté de la presse, se sent profondément atteint par les attaques incessantes de la police (perquisitions, fouilles). Il en créa une caricature toute personnelle.
Grandville – Descente dans les ateliers de la liberté de la presse, 1832
Son fils, Armand Grandville, fut désigné exécuteur testamentaire . En 1893 et 1894, il partage la collection entre le Musée des beaux-arts de Nancy (1 432 dessins), le Musée lorrain (58 dessins), la Bibliothèque publique de Nancy (522) et la Bibliothèque nationale de France à Paris (15 dessins). En 1853, 1 168 dessins sont mis en vente par la famille de l’artiste. Le musée Carnavalet à Paris conserve un cahier de croquis et un album de 50 dessins et aquarelles. À l’étranger, le musée national de Varsovie compte 29 compositions attribuées à l’artiste. D’autres dessins sont conservés dans des collections privées.
L’univers merveilleux et étrange de Grandville a inspiré nombre d’artistes après lui : Max Ernst, César, Odile Redon, Chaplin, les frères Lumière, Méliès, le groupe de rock Queen, le comics anglais via Bryan Talbot …
Kirsten Sims est diplômée de l’académie Stellenbosch en design appliqué et de l’université de Stellenbosch en illustration, en Afrique du Sud, où elle vit. Elle a depuis travaillé en tant que professeure de dessin et créatrice de textiles. Son travail a été exposé à Cape Town et à Toronto.
Expédition Balthazar (hélium, 2017) est son premier livre pour enfants.
René Gruau, pseudonyme de Renato Zavagli-Ricciardelli delle Caminate, né le 4 février 1909 à Rimini (Italie), et mort le 31 mars 2004 à Rome (Italie), est un illustrateur, affichiste et peintre franco-italien réputé pour ses illustrations pour la mode et la publicité. Wikipedia
Les illustrations miniatures de Suria PRABHA, artiste indienne
Originaire d’Inde et aujourd’hui basée en Allemagne, Suria Prabha apprécie les choses simples et s’inspire de tous les univers pour ses illustrations. C’est une vraie touche-à-tout qui manie différentes techniques artistiques comme l’acrylique, l’encre à l’alcool, les pastels… Mais sa spécialité reste l’aquarelle qu’elle maîtrise sur le bout des doigts.