István Zádor est un artiste peintre hongrois [autro-hongrois] (né le 15 janvier 1882, Kikinda, Serbie – décès en mai 1963, Budapest, Hongrie).
Ses Œuvres d’art majeures sont : Misty Winter Morning on Erzsébet Square, My Wife, …
Il enseigna à l’Université hongroise des beaux-arts (1910–1912) et eut la distinction The second grade of Kossuth Prize, considérée aujourd’hui comme la récompense culturelle la plus prestigieuse en Hongrie. Ce prix est décerné par le président de la République.
Istvan Nado (ou Istvan Zador) 1882-1963 Hungarian – Lady in a golden silk kimono, 1932
István Sándorfi ou Étienne Sandorfi (1948-2007), peintre figuratif de fière origine hongroise, n’est plus un artiste de premier rang sur le marché de l’Art international, tel qu’il le fut au pic de la popularité du mouvement Hyperréaliste dans lequel il ne se reconnaissait toutefois pas. Il reste malgré cela une icône populaire, très suivi par les amoureux de la technique ou fans se reconnaissant dans le malaise irrévérencieux que pouvaient générer certaines de ses oeuvres.
En 1973, une exposition au Musée d’Art Moderne de Paris contribua à faire de Sandorfi une valeur montante de l’hyperréalisme, bien que lui-même ne se reconnaisse pas dans ce mouvement.
L’exposition présente une sélection des peintures réalisées entre 1970 et 2000.
L’Institut Balassi, Institut hongrois, Collegium Hungaricum, Paris (en hongrois : Párizsi Magyar Intézet) est un centre culturel qui fait partie du réseau de l’Institut Balassi appartenant au Ministère du Commerce Extérieur et des Affaires Étrangères de Hongrie.
L’Institut Balassi (en hongrois : Balassi Intézet, en anglais: Balassi Institute, en allemand : Balassi Institut, en russe : Институт Балашши) est une organisation hongroise, dont l’objectif est de promouvoir la langue et la culture hongroises à l’étranger. Son siège est à Budapest.
L’Institut Balassi est la tête de pont d’un réseau de 23 instituts culturels et deux succursales à l’étranger. Cette couverture permet l’organisation d’évènements et de festivals autour de la culture hongroise, de structurer l’offre en matière d’apprentissage du hongrois, mais aussi d’organiser les financements d’initiatives associatives ou d’appuyer les programmes de recherche autour de la culture hongroise.
En 2013, l’institut hongrois Balassi a organisé une rétrospective de la bande dessinée hongroise : Hungarocomix. Les plus grands noms de la BD hongroise, d’hier et d’aujourd’hui, étaient présentés.
Comment dit-on « bande dessinée » en hongrois ? képregény, vocable composé de kép (image) et de regény (roman) qui évoque, comme dans bien des langues, la notion de « roman graphique« .
Cyrano de Bergerac par Ernő Zórád
Issue de la tradition de la caricature, la bande dessinée hongroise naît au XIXe [comme en France], mais sa production reste sporadique sans réussir à s’enraciner dans la tradition populaire comme chez nous.
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, de nombreux journaux pour enfants et adolescents émergent, comme par exemple la revue Pajtás à partir de 1946. (…) En 2001, la galerie Karton, entièrement dédiée aux expositions de bande dessinée s’inaugure à Budapest. S’ajoute, en 2004, la donne nouvelle de l’Internet : le site web rajzfilm.hu lance un concours de BD.
ActuaBD.comest un des rares sites francophones à vous faire découvrir les bandes dessinées venues des autres horizons. Chacun remerciera l’initiative et les auteurs.