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Art et écologie : les MOOC du Centre Pompidou

Après le succès du MOOC « Elles font l’art » ayant réuni plus de 42 000 inscriptions en 2021, le Centre Pompidou propose un MOOC sur l’écologie dans l’art, à partir du 10 octobre 2022.

Ce cours en ligne gratuit ouvert à toutes et tous, déroule un parcours thématique en cinq séquences présentant les différentes pratiques écologiques à l’œuvre chez les artistes de 1960 à nos jours.

De la pratique de la récupération et du recyclage au nouveau regard porté sur le vivant, de l’engagement dans des performances artistiques et militantes à l’émergence d’une perception différente de l’acte de création, les enjeux environnementaux traversent la démarche de nombreux artistes depuis les années 1960 et occupent aujourd’hui une place décisive, contribuant à redéfinir l’horizon même de l’art contemporain.

En prenant appui sur la collection du Musée national d’art moderne, les spécialistes dressent un récit de l’écologie de l’art contemporain.

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2020-02 Rouen : une fresque participative en cours de réalisation

Street artistes amateurs, à vos bombes !

À Rouen (Seine-Maritime), l’artiste Ecloz, bien connu dans le monde du street art, réalise actuellement une fresque sur les quais rive droite. Précisément, sur le mur extérieur de la déchetterie. En partenariat avec la Métropole Rouen Normandie, qui gère cet équipement, le grand public est invité à participer au processus de création.

L’œuvre comprend une dimension de sensibilisation à la protection de la biodiversité. (©MRN)

 


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2018-02 L’art peut-il sauver la planète ?

[02-02-2018] Fourrure, céramique, terre crue… c’est dans les matières naturelles que les artistes Karine Bonneval et Julie C. Fortier puisent leurs recherches. L’exposition Comme un frisson assoupi, hébergée au Micro Onde, à Vélizy-Villacoublay,  propose une plongée dans leurs environnements respectifs, à la recherche d’émotions primaires, de réminiscences sensuelles et d’interrogations scientifiques.

Nathalie Desmet : L’art en lui-même est un moyen de créer de nouvelles façons d’envisager les relations entre l’humain et les autres vivants. L’émerveillement que beaucoup de jeunes artistes manifestent aujourd’hui à l’égard des phénomènes naturels est déjà fondamental. Créer une attention est un premier pas vers la prise de conscience.

En 1999, Amy Lipton et Sue Spaid ont inventé le terme « écovention », entre écologie et intervention, qui décrit la tendance de beaucoup d’artistes soucieux de l’environnement à réaliser des projets locaux, souvent dans l’idée d’avoir un impact positif et d’inverser les dommages écologiques. Parfois, l’activité de terrain est même plus importante que le résultat artistique, comme pour le groupe danois Superflex qui a développé des unités de biogaz en Afrique, permettant à des familles d’acquérir une autonomie pour cuisiner et s’éclairer.

Il existe des actions de proximité, plus subtiles, et qui peuvent être tout aussi efficaces…

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Source : linfodurable.fr

2018-07 Triennale d’art contemporain à Bruges

Bruges est déjà une belle ville en elle-même, mais cet été elle offre une dimension supplémentaire avec la triennale « Ville liquide » qui propose des exposition d’œuvres contemporaines le long des canaux. La ville musée prend une dimension supplémentaire, prend un coup de couleur grâce à la quinzaine d’œuvres présentées.

C’est une gigantesque baleine surgissant du canal qui accueille les visiteurs de la triennale de Bruges. Elle est composée de déchets plastiques qui ont été récupérés par des surfeurs sur les plages d’Hawaï. La baleine est une des oeuvres préférée des visiteurs de cette triennale qui entend offrir un coup de jeunesse à la ville médiévale.

Les oeuvres resteront visibles jusqu’au 15 septembre. Elles seront ensuite démontées pour rendre à la ville moyenâgeuse son aspect habituel.


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Source : rtbf.be

 

2017-12 Regards contemporains sur l’écologie

Le musée Barrois propose une exposition sur la façon dont les artistes voient l’environnement. Une trentaine d’œuvres d’une vingtaine d’artistes contemporains sont réunies jusqu’au 11 mars 2018.

Un agglomérat de déchets, une photo d’un couloir inondé, des nichoirs aux entrées géométriques, les œuvres qu’a choisies Claire Paillé, attachée de conservatoire du patrimoine et responsable du musée Barrois montre des visions d’artistes sur le même thème : l’écologie.

source :  estrepublicain.fr

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