« Ce que j’aime le plus, c’est jouer avec les textures et les combinaisons de couleurs. »
Sofia Bonati est une artiste et illustratrice argentine. Elle est née à Buenos Aires le 1982 dans une famille d’artistes. Elle a commencé sa carrière artistique lorsqu’elle a déménagé au Royaume-Uni en 2013, tout en conciliant sa nouvelle vie de maman.
Sofia Bonati (Argentine, 1982) – Ottavia, 2017
En plus de travailler sur ses propres projets, elle a également développé une carrière d’illustratrice, avec des clients comme Iberia (Espagne), Vanity Fair (France) et Mondadori (Italie). Dans sa production, le thème principal est le portrait féminin, avec des atmosphères fantaisistes et mélancoliques, des regards captivants, et incluant souvent des éléments surréalistes.
La plupart de ses pièces sont réalisées au crayon, à l’aquarelle et à la gouache sur papier, ainsi que par des productions numériques.
Née en Normandie à Pont-Audemer, Marylise Jozan commence sa formation artistique en Argentine à 20 ans. Elle travaille plusieurs années à l’atelier du peintre Jorge Demejian au cœur de San Telmo. Une expérience déterminante qui l’initie à l’huile, la compréhension de la lumière et la liberté du dessin.
L’histoire des sœurs Brontë, chacun-e pourra la (re)découvrir au travers des ouvrages et/ou films produits : Devotion réalisé en 1946 par Curtis Bernhardt, avec Olivia de Havilland, ou Les Sœurs Brontë, réalisé par André Téchiné en 1979, avec Isabelle Adjani, Marie-France Pisier et Isabelle Huppert. Wikipédia est particulièrement prolixe avec ses 60 pages.
On retiendra que Branwell, né en 1817 et l’unique frère des romancières, fut un élément essentiel de l’éveil littéraire pour ses soeurs, une source d’inspiration, une porte vers un monde imaginaire, un monde virtuel. Pour exemple, Glass Town, la « confédération de la Ville de verre » (Glass Town Confederacy), a été créé à la fin de 1827 par Charlotte, Branwell, Emily et Anne Brontë. Ce monde a cédé la place, vers 1834, au royaume imaginaire d’Angria, « administré » par Charlotte et Branwell Brontë.
Landscape with Cottage, River and Bridge, Patrick Branwell Brontë (1817–1848). Brontë Parsonage Museum
Jeune homme, Branwell Brontë est formé comme portraitiste à Haworth et exerce ce travail à Bradford en 1838 et en 1839. Son portrait le plus célèbre est celui de ses trois sœurs (sur lequel il semble s’être fait figurer dans un premier temps). Il veut devenir peintre et part à Londres pour étudier les beaux-arts. En fait, il revient au bout de quelques jours après avoir dilapidé la somme que lui a remise son père. Il ne parviendra jamais à vivre de son art, mais concrétisera quelques écrits, poèmes et articles pour des revues locales.
Il s’éteindra à 31 ans, atteint de tuberculose. Lire sa biographie et l’article de Christine Jordis (lemonde.fr) qui évoque le poids que fit peser sur lui, l’unique fils, génie en herbe, l’espoir paternel.
Tableau peint par Branwell Brontë vers 1834 : Anne, Emily et Charlotte (Branwell, qui figurait en haut du tableau, s’est lui-même effacé). @Wikipedia
J’aurais pu être un grand musicien Diriger des hommes à la baguette Jouer du Liszt, du Mozart, du Chopin Faire des concertos pour clarinette J’aurais pu donner des récitals À Paris, en banlieue, aux Antilles Recevoir un accueil triomphal Plaire à tous et surtout plaire aux filles Malheureusement Je n’ sais jouer que d’un p’tit instrument
La Mandoline est une chanson de Bourvil sortie en 1958, reprise dans l’album Ballade irlandaise (1970)
Pablo Picasso « Girl with a Mandolin » – Fanny Tellier-1910-751×1024
Les artistes Pablo Picasso et Georges Braque ont été à l’avant-garde du cubisme analytique (1) pendant de nombreuses années, de même que Juan Gris. De nombreux autres artistes ont commencé à adopter les méthodes non conventionnelles du cubisme, comme Albert Gleizes et Jean Metzinger.
(1) Le cubisme analytique se caractérise par des peintures qui représentent un sujet à partir de plusieurs points de vue superposés dans un seul plan d’image. Les œuvres qui en résultent ont un aspect fragmenté, géométrique et abstrait et une palette de couleurs monochromatiques.
Charles Leval, alias Levalet, est né en 1988 à Epinal. Il grandit en Guadeloupe où il découvre la culture urbaine et les arts plastique. A 13 ans, il commence à peindre sur les murs de l’île. De retour en métropole à 17 ans, il étudie les arts visuels à Strasbourg. Il pratique le théâtre, touche à l’audiovisuel, à la photographie, à la sculpture, la peinture avant de se spécialiser dans les arts plastiques. Il est aujourd’hui professeur et enseigne les arts plastiques à Paris.